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Nous vous proposons ci-dessous un nouveau bilan hebdomadaire des marchés de la semaine passée. Bonne lecture.

BILAN DES MARCHES

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La Der des Ders

Les marchés financiers ont continué de profiter pleinement de la confirmation du ralentissement de l’inflation malgré un début de semaine plombé par de nouvelles statistiques macroéconomiques décevantes en Chine qui ont affecté les 4 fantastiques du luxe « les khol » (Kering, Hermès, L'Oréal et LVMH) dont la croissance est sensible au marché chinois.

En milieu de semaine, les indices boursiers ont repris des couleurs, portés par le ralentissement du rythme de la hausse des prix à la fois en zone euro où le taux d’inflation est ressorti à 5,5% en juin contre 8,6% il y a un an, mais également au Royaume-Uni (7,9% sur un an contre 8,1% anticipé par les analystes).

Le royaume d’Angleterre reste néanmoins parmi les sept économies avancées du monde, celle où l’inflation est la plus élevée, mais les investisseurs estiment que si le mouvement de décrue se poursuit, cela pourrait infléchir la future politique monétaire de la BoE (Banque centrale d'Angleterre).

C’est par ailleurs le scénario anticipé par les marchés aux US où se tiendra mardi et mercredi la réunion du FOMC (Federal Open Market Committee) qui devrait statuer sans surprise sur un relèvement de ses taux d’1/4 de point, l’attention se portera principalement sur le discours du patron de la FED dont les opérateurs de marchés attendent maintenant que face au mouvement de désinflation, il puisse enterrer le cycle de resserrement monétaire entamé en mars 2022.

Dans ce contexte, la bourse de Paris a enchaîné quatre séances de hausses consécutives lui permettant de franchir la barre des 7400 points, du côté de New York c’est le Dow Jones qui brille en alignant dix séances de hausse d'affilée soit son canal haussier le plus long depuis août 2017.

La publication des résultats des entreprises pour le second trimestre a été la semaine passée en demi-teinte, les banques américaines Bank of America et Morgan Stanley ont plutôt rassuré avec des résultats plus solides que prévu. En revanche, Tesla et Netflix ont déçu. Le patron de Tesla, Elon Musk semble payer sa politique commerciale agressive visant à défendre sa place de leader dans l’industrie automobile des véhicules électriques quoiqu’il en coûte en affichant une marge brute trimestrielle au plus bas depuis quatre ans.

Du côté du géant du streaming Netflix ; le chiffre d'affaires pour le trimestre clos le 30 juin était de 8,18 milliards de dollars, en hausse par rapport aux 7,97 milliards de dollars de l'année précédente.

Seulement, les analystes s'attendaient à 8,29 milliards de dollars et l’entreprise américaine a reconnu avoir perdu 970 000 abonnés entre le premier et le deuxième trimestre, au lieu de deux millions, comme elle l'avait indiqué dans ses prévisions, le titre a chuté dans la foulée de 4,5 %.

La semaine prochaine sera particulièrement chargée avec les réunions des trois banques centrales américaines, européennes et japonaises, la majorité des publications des poids lourds dans les indices boursiers publieront leurs résultats (LVMH, Microsoft, Airbus, Alphabet, Total Energies, Meta Platform) et enfin, les chiffres de l’inflation et du PIB pour le 2e trimestre aux États-Unis viendront clôturer le mois de juillet.

 

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Point sur le fonds Panorama Patrimoine (1)

Au cours de la semaine, nous avons maintenu notre positionnement. Les actions représentent 19.31%. Dans le détail, notre exposition aux actions européennes est de 3.5%. Nous restons prudents sur la zone euro et pensons que l’activité pourrait ralentir, nous privilégions les entreprises dites de qualité moins cyclique avec des bilans sains. Nous maintenons aussi notre positionnement sur les États-Unis (4.5%) principalement via des positions sur le NASDAQ.

Enfin la Chine, dont les annonces concernant un plan de relance se font attendre, représente 4.6%.

L’exposition "action résiduelle" est investie notamment au travers de supports spécialisés sur la transition écologique. En effet, même si l’activité économique ralentit le soutien des États devrait aider les entreprises concernées.

Enfin, s’agissant des obligations, nous maintenons nos positions de portage (HY en Zone Euro et dette émergente) et restons aussi exposés aux obligations de bonne qualité en Europe (Obligations gouvernementales et crédit IG).

Au 19/07/2023, la performance de Panorama Patrimoine depuis le début de l’année est de 1.26%.

Source : Meeschaert AM au 24/07/2023

 

 

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Point sur notre fonds Proximité Rendement Durable (1)

Comme énoncé ci-dessus, même si nous anticipons un tassement de l’activité économique, nous estimons que les entreprises en lien avec la transition pourraient surperformer leurs concurrentes. Les différents plans de relances devraient venir en soutien de secteur clé pour la transition. Cet été illustre une fois encore les impacts du réchauffement climatique, canicule en Europe, feux au Canada, et bien d’autres événements.

Les gouvernements vont devoir être encore plus volontaristes et agir plus vite. Au cours de la semaine, nous avons maintenu le positionnement du portefeuille. Les actions représentent 38.25%, et les obligations 54.5%.

Au 19/07/2023, la performance de Proximité Rendement Durable depuis le début de l’année est de 3.02%.

 

 - Rédigé par Vincent BARBIER, gérant Proximité Partenaires Conseils.

DISCLAIMERS

(1) Pour une information complète sur la stratégie du support et l’ensemble des frais et risques, nous vous remercions de prendre connaissance du DICI disponible en suivant les liens (survol sur le nom des fonds), et sur simple demande auprès de notre siège. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Risque de perte en capital. Avant tout investissement, il est fortement conseillé à tout investisseur, de procéder, sans se fonder exclusivement sur les informations fournies dans cette newsletter, à l’analyse de sa situation personnelle ainsi qu’à l’analyse des avantages et des risques afin de déterminer le montant qu’il est raisonnable d’investir.

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